Un autre regard sur les vitraux de la cathédrale : le remplacement des verres fracturés et la récupération des pièces anciennes. À la façon d’un enquêteur…
Sans doute le panneau a-t-il reçu un coup assez violent, puisque plus de la moitié des plumes ont finalement dû être changées tandis qu’il n’a pas été fait usage de plombs de casse – avec lesquels on aurait pu ‘recoller’ les verres brisés. Tout cela pourrait suggérer un véritable ‘trou’, avec des pièces manquantes après être tombées à terre.
Quatre pièces, d’origine ‘étrangère’, ont été réemployées à cet effet. Comment a-t-on pu se les procurer ? Sans doute lors d’accidents du même genre. Seul compte alors le critère de la teinte.