Des points de vue qui ne manqueront pas de surprendre :
– les clichés sont réalisés depuis les galeries supérieures de la cathédrale
– l’édifice est recouvert d’un manteau de neige

Nous remercions Valérie GUILLOT pour avoir traqué pendant une matinée les étonnants effets de réfraction du soleil. Voyage dans une cathédrale blanche et silencieuse…

Nef, côté nord. Les pyramidions sur lesquels reposent les arcs supérieurs, gagnent au temps enneigé un relief qu’on ne leur connaissait pas.
Plongée sur le parvis nord. La poudreuse habille le toit en écailles du pavillon de l’horloge, au pied du clocher.
Arcs supérieurs de la nef, côté sud. Au-delà de l’intense poésie dégagée par ces lignes épurées, on comprend pourquoi les arcs boutants doivent être constamment rejointoyés – évitant ainsi les infiltrations.
Depuis les toits, tour latérale du chœur, côté sud. La main-courante est glacée.
Depuis une tour latérale du transept sud, étage médian de la flèche romane. On aperçoit au premier plan, entièrement couverts de neige, les larges murs construits au XIII° siècle pour lancer l’une des six flèches supplémentaires prévues au plan initial.
Tourelle d’escalier du transept sud – construite par Jehan aux Tabours vers 1368.
Fleuron au sommet du pignon sud. La neige donne aux crochets un relief saisissant, sur fond d’un ciel bleu.
Statue de la chapelle Vendôme. La silhouette du Christ se détache : le sol, en arrière des grilles, est totalement blanchi.
Balustrade en bordure du toit de la nef, côté sud. Le passage des coursives est impraticable. Par contre, le soleil y crée d’admirables reflets.
Même balustrade. On appréciera les nuances subtiles qui se font jour à la fois sur la pierre et le cuivre – deux beaux matériaux.
Vue du quartier de Loëns – depuis le transept nord.
Vue des quartiers St Aignan et St Pierre – depuis la flèche romane.