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Saint-AIGNAN
HORAIRES D'OUVERTURE
L'église Saint-Aignan vous accueille :
- du lundi au dimanche, de 08h30 à 18h00.
HORAIRES DES MESSES
- Le dimanche à 10h00 : forme extraordinaire du rite romain.
UN PEU D'HISTOIRE...
L’église Saint-Aignan, succédant à plusieurs constructions détruites par les incendies, a été commencée en 1514.
Son architecture est de style renaissance, n’excluant pas quelques éléments empruntés au gothique finissant. Les piles intérieures sont dépourvues de chapiteaux, accentuant la fluidité des lignes. Le petit portail d’entrée, très élégant, se ressent des modèles gréco-romains.
De cette époque datent tous les collatéraux de l’église, dont les voûtes sont croisées d’ogives, la chapelle axiale ainsi qu’une crypte permettant de compenser le différentiel de niveau.
L’église se situe en effet à flanc de coteau, et repose sur des fondations anciennes qu’il a fallu constamment renforcer.
En 1624, une nouvelle campagne de travaux se consacre à la nef. Celle-ci comporte un triforium, des grandes baies géminées et une belle voûte lambrissée. Les peintures des parties hautes datent de cette époque, celles des arcades inférieures ne datant que du XIX° siècle. Elles donnent à l’église une atmosphère particulière.
Rendue au culte en 1823, Saint-Aignan est richement meublée au cours des décennies suivantes : autel, grilles du chœur, orgue et chaire sont représentatifs du style néo-gothique alors en vogue.
L’église Saint-Aignan conserve un ensemble de vitraux remarquables, appartenant notamment au XVI° siècle. Outre quelques représentations de saints populaires et plusieurs ‘remontages’ issus de vitraux fracturés, on y voit des fenêtres intéressantes, au thématiques variées :
Son architecture est de style renaissance, n’excluant pas quelques éléments empruntés au gothique finissant. Les piles intérieures sont dépourvues de chapiteaux, accentuant la fluidité des lignes. Le petit portail d’entrée, très élégant, se ressent des modèles gréco-romains.
De cette époque datent tous les collatéraux de l’église, dont les voûtes sont croisées d’ogives, la chapelle axiale ainsi qu’une crypte permettant de compenser le différentiel de niveau.
L’église se situe en effet à flanc de coteau, et repose sur des fondations anciennes qu’il a fallu constamment renforcer.
En 1624, une nouvelle campagne de travaux se consacre à la nef. Celle-ci comporte un triforium, des grandes baies géminées et une belle voûte lambrissée. Les peintures des parties hautes datent de cette époque, celles des arcades inférieures ne datant que du XIX° siècle. Elles donnent à l’église une atmosphère particulière.
Rendue au culte en 1823, Saint-Aignan est richement meublée au cours des décennies suivantes : autel, grilles du chœur, orgue et chaire sont représentatifs du style néo-gothique alors en vogue.
L’église Saint-Aignan conserve un ensemble de vitraux remarquables, appartenant notamment au XVI° siècle. Outre quelques représentations de saints populaires et plusieurs ‘remontages’ issus de vitraux fracturés, on y voit des fenêtres intéressantes, au thématiques variées :
L’une des verrières, sans doute plus novatrice et montrant saint Michel terrassant les anges rebelles, est inspirée d’une gravure de Dürer (1547)- scènes de la dormition de la Vierge (Pierre Courtois – v. 1490)- personnages de la parenté de la Vierge, comprenant les représentations de Marie Jacobé, Marie Salomé, Anne et Joachim (v. 1510)
- scènes de la vie apostolique, avec le Quo Vadis et la conversion de Paul (Jean Cousin - v. 1540)
Cet ensemble, complétant celui de la cathédrale et de l’église Saint-Pierre et retraçant ainsi quatre siècles d’évolution artistique, concourt à faire de Chartres la capitale du vitrail.
